Le 26 janvier 2022, nous avons rencontré Geoffrey Laguardia et Abdelhakim Bouaouilou, conducteur de travaux et chef de chantier chez SRBG Saint-Germain-en-Laye. Filiale du groupe Eurovia, qui compte 43 000 collaborateurs, cette entreprise est spécialisée dans les travaux de voiries et de réseaux divers. Depuis plusieurs mois, Geoffrey et Abdelhakim utilisent Kraaft sur le projet d’extension d’une plateforme logistique LIDL, dans le 78.
La difficulté du projet, découpé en une vingtaine de lots, c’est la cohabitation avec les autres entreprises. Pour SRBG, qui s’occupe du terrassement, des VRD, de l’assainissement et du traitement des sols, les dégradations et les gênes sur le chantier sont l’affaire du quotidien. “Là, on a remis de la grave : on a rebouché puisqu’il y avait un petit affaissement au niveau du voile en béton, mais c’était pas à nous de le faire” explique Abdelhakim. Ces aléas ne sont pas toujours bien expliqués à la maitrise d’oeuvre. Et le client, qui ne peut pas être sur le chantier tous les jours, manque souvent de visibilité.
Pour documenter ce genre d’événements, Abdelhakim garde toujours un petit calepin dans sa poche. Le soir, lorsqu’il ne gère plus la dizaine de chefs d’équipe et d’ouvriers qui travaillent sur le projet, il rédige des rapports au bureau qu’il envoie par email, avec les photos qu’il prend de son téléphone ou qu’il reçoit sur WhatsApp. “Le problème avec WhatsApp, c’est que c’est un fourre-tout. (...) Mais les chefs ont bien le réflexe, il y a une crainte de passer sur un nouvel outil”. Le coup de téléphone est également pratique pour communiquer sur ces imprévus de chantier, mais pour Geoffrey, qui en reçoit des dizaines par jour, le volume est difficile à gérer.
“Kraaft nous sert à faire un suivi et une présentation des différents aléas aux clients, avec ça on gagne du temps et on explique mieux les sujets” explique Geoffrey. “Je l’utilise tous les jours, comme Facebook ou WhatsApp” continue Abdelhakim. “Au début, les chefs me disaient on a WhatsApp : pourquoi on va prendre Kraaft ? (...) On a commencé à comprendre quand on a vu la possibilité de classer tous les problèmes”.
L’agence de travaux publics a dû expliquer un imprévu qui datait d’il y a 5 mois. En quelques clics, via une recherche par événement, chronologique ou cartographique, Geoffrey a pu retrouver l’événement en question. Et générer une fiche d’anomalie au format du marché. “Le client a remarqué la qualité des rapports” souligne le conducteur de travaux.
Hier j’avais un rdv sur un autre chantier à 9h, on a eu un imprévu ici à 8h, et bien en 20 minutes j’ai eu le temps de générer un rapport dans ma voiture, suite aux photos transmises par le chef. (...) J’ai juste eu à faire un export via l’application : tout était daté, classé et géo-localisé, et avant mon rdv le rapport était déjà envoyé au client. (Geoffrey Laguardia, conducteur de travaux chez SRBG Saint-Germain-en-Laye)
Mais Kraaft sert également à communiquer sur les avancées positives du chantier. “Je m’en sers pour faire la pub du chantier. Je mets mon travail en valeur, j’utilise d’ailleurs certaines photos pour mon Linkedin.” souligne Abdelhakim. Les photos du balisage sont devenus un réflexe le soir, pour montrer aux équipes qu’il a bien été mis en place. Un usage d’ailleurs très intéressant sur les baux d’entretiens, des marchés importants pour l’entreprise francilienne.
✅ Simplicité de prise en main par les chefs de chantier
✅ Communication réactive avec le client en cas de points d’arrêt
✅ Gain de temps sur la génération de rapports et formalisme apprécié par le client
✅ Facilité de recherche d’information : chronologique, sur carte satellite ou par événement
✅ Valorisation du travail : outil de communication sur les réussites et les difficultés du chantier
“Ça fait 1 an et demi que j’utilise Kraaft. Je l’utilise tous les jours, comme Facebook ou WhatsApp. Aujourd’hui, Kraaft ce n’est pas mon premier chantier, ça nous suit.” (Abdelhakim Bouaouilou, chef de chantier chez SRBG Saint-Germain-en-Laye)